Les fortes pressions inflationnistes actuelles devraient s’atténuer en 2009, mais l’appréciation antérieure du taux de change réel risque d’entraver la reprise tirée par les exportations qui est souhaitée.
La caisse d'émission monétaire (Currency Board) et la règle d'équilibre budgétaire à laquelle adhère le gouvernement limitent les marges de manoeuvre macroéconomiques dont disposent les autorités pour soutenir la reprise. Dans ce contexte, une plus grande flexibilité du marché du travail, en particulier un ajustement plus rapide des salaires et une mobilité régionale accrue, serait souhaitable.
©L’Observateur de l’OCDE nº 270/271, décembre 2008-janvier 2009
Suivez-nous sur