De telles crises viennent inévitablement déconstruire l’idée selon laquelle une économie qui se mondialise est bénéfique pour le plus grand nombre. Les gens deviennent, à juste titre, inquiets et aigris. Et les gens inquiets et aigris n’ont pas tendance à être ouverts au monde qui les entoure. La tentation est forte de se replier, reclus avec d’autres individus tout aussi amers. C’est ce qui est arrivé dans les années 1930 ; les crises financières sont les événements les plus susceptibles de nous y replonger.
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*Extrait tiré du livre de Martin Wolf The Shifts and the Shocks: What We've Learned-and Have Still to Learn-from the Financial Crisis (non traduit en français), publié en 2014 chez Allen Lane au Royaume-Uni et Penguin Press aux États-Unis. Traduit de l’anglais par L’Observateur de l’OCDE.
©L'Annuel de l'OCDE 2015
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